« Le métier de peintre tient de l'alchimie. Écoute et regarde car il ne s'apprend que de bouche à oreille, de maître à élève. Tout cela pour disposer d'une belle matière sans laquelle il ne peut y avoir de bonne peinture. »
À dos de mule, à l'aube de la Renaissance, un jeune peintre italien s'en fut jusqu'à Bruges recueillir le secret d'une lumière nouvelle. C'était Antonello de Messine. Un peu plus tard, Laurent « le Magnifique » règne sur Florence. Autour de lui, des premiers pas - et premières esquisses - se font remarquer. Où l'on retrouve Botticelli, Michel-Ange, Raphaël, Léonard de Vinci...
Jean Diwo pousse ici délicatement les portes des ateliers les plus prestigieux pour nous conter l'histoire des acteurs d'un temps unique celui où la Joconde parlait.
Un roman sur fond historique qui traite de la naissance et de l'essor des peintres et sculpteurs italiens au temps de la Renaissance. On y croise Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphael, Botticeli et tous les grands noms de la peinture, avec en fond historique la politique italienne entre les rois et les Papes.
Un roman très riche sur l'Art italien et l'Histoire des grands peintres. Il fourmille de détails et on apprend beaucoup de choses sur les modes de vie de l'époque.
Malgré quelques longueurs, le roman est plutôt intéressant. Toutefois, il s'adresse surtout aux amateurs d'art et aux fans des grands maîtres de la peinture et de la sculpture.
Un style très éloigné de mes lectures habituelles, et qui a été long à lire malgré son intérêt.
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